Je te donnerai avec grand plaisir tous les coups de pouces que tu demanderas, mais je suis piètre écrivain.
Donc, en peu de mots (et soigneusement pesés), tu es une belle personne que je suis heureuse de connaître.
J'ai beaucoup aimé te rencontrer dans ton Sénégal à toi que tu racontes dans une belle langue et à ta manière humble, chaleureuse et lucide.
Et je suis donc assez impatiente de lire tes « Chroniques Méditatives du Triangle d'Or » pour vivre encore, j'en suis sûre, un doux moment avec toi.
Merci, Élodie...
"tout n'est peu être pas perdu". c'est ce que je me suis dit du haut de mes septante et un an, après avoir lu les sénégalaises chroniques d'Elodie. La Jeunesse actuelle va encore nous étonner
Magnifique écriture fluide.
Remarquable réflexion sur le racisme fruit de la peur et du refus de l'autre.
Beau regard sur un pays, sur ses habitants. Respect d'une culture différente de la sienne.
Démarche qui n'est pas du blablabla de salon mondain pour pseudo-intellos. c'est du vécu. Et tellement bien raconté!
Surtout, Elodie, continue de nous faire partager tes voyages intérieurs comme extérieurs!!!!
Je viens d'attaquer "le triangle d'or et déjà je me régale......
(dimanche 22 septembre 2013)
#3
Vincent Ch.(dimanche, 22 septembre 2013 03:27)
Une invitation au voyage et une réflexion marquante sur la manière dont il est possible d’accueillir la différence sans oublier qui l'on est.
#2
Jeanjean B.(vendredi, 20 septembre 2013 16:19)
La prose qui vient du moment, celle qui sort de l'émotion de l'instant présent, tout juste vécu. Et malgré tout tant maitrisée, cette prose.
On est comme poisson dans l'océan, on finit par ne plus lire, mais par être dedans, simplement, tout en se rendant compte de l'immensité de choses vécues par l'auteur qu'on ne peut atteindre, ou
pas,,, auxquelles on a déjà touchées, ou pas.. va savoir..
Ce sont bien là des sentiments couchés sur papier, pas de "moi je" ceci ou "moi je" cela car "moi j'ai voyagé" et "moi j'ai vécu ça"... Bref, un recueil de sentiments intérieurs qui nous emmènent,
parfois loin, parfois en nous selon nos vécus.. Rares sont les recueils de voyage si ancrés dans la vérité du moment et qui ne se perdent pas dans une simple narration de voyage "fini, abouti,
passé".
Bien!
Et Oli m'a trop fait rire lors de son intervention du "bac à sable". On y trouve donc même des fous rires!
#1
Oli. Delloye(jeudi, 19 septembre 2013 12:12)
Que dire si ce n'est que ce que tu as vécu, je l'ai un partagé avec toi, quelques semaines - et ce que tu décris est si vrai qu'on doit le ressentir, même sans avoir vécu tout ça. Bien de la chance
d'avoir découvert un peu de cette Afrique en ta compagnie et à travers ton regard.
muriel logist (jeudi, 26 septembre 2013 18:01)
Je te donnerai avec grand plaisir tous les coups de pouces que tu demanderas, mais je suis piètre écrivain.
Donc, en peu de mots (et soigneusement pesés), tu es une belle personne que je suis heureuse de connaître.
J'ai beaucoup aimé te rencontrer dans ton Sénégal à toi que tu racontes dans une belle langue et à ta manière humble, chaleureuse et lucide.
Et je suis donc assez impatiente de lire tes « Chroniques Méditatives du Triangle d'Or » pour vivre encore, j'en suis sûre, un doux moment avec toi.
Merci, Élodie...
Natacha guiboud (dimanche, 22 septembre 2013 22:45)
"tout n'est peu être pas perdu". c'est ce que je me suis dit du haut de mes septante et un an, après avoir lu les sénégalaises chroniques d'Elodie. La Jeunesse actuelle va encore nous étonner
Magnifique écriture fluide.
Remarquable réflexion sur le racisme fruit de la peur et du refus de l'autre.
Beau regard sur un pays, sur ses habitants. Respect d'une culture différente de la sienne.
Démarche qui n'est pas du blablabla de salon mondain pour pseudo-intellos. c'est du vécu. Et tellement bien raconté!
Surtout, Elodie, continue de nous faire partager tes voyages intérieurs comme extérieurs!!!!
Je viens d'attaquer "le triangle d'or et déjà je me régale......
(dimanche 22 septembre 2013)
Vincent Ch. (dimanche, 22 septembre 2013 03:27)
Une invitation au voyage et une réflexion marquante sur la manière dont il est possible d’accueillir la différence sans oublier qui l'on est.
Jeanjean B. (vendredi, 20 septembre 2013 16:19)
La prose qui vient du moment, celle qui sort de l'émotion de l'instant présent, tout juste vécu. Et malgré tout tant maitrisée, cette prose.
On est comme poisson dans l'océan, on finit par ne plus lire, mais par être dedans, simplement, tout en se rendant compte de l'immensité de choses vécues par l'auteur qu'on ne peut atteindre, ou pas,,, auxquelles on a déjà touchées, ou pas.. va savoir..
Ce sont bien là des sentiments couchés sur papier, pas de "moi je" ceci ou "moi je" cela car "moi j'ai voyagé" et "moi j'ai vécu ça"... Bref, un recueil de sentiments intérieurs qui nous emmènent, parfois loin, parfois en nous selon nos vécus.. Rares sont les recueils de voyage si ancrés dans la vérité du moment et qui ne se perdent pas dans une simple narration de voyage "fini, abouti, passé".
Bien!
Et Oli m'a trop fait rire lors de son intervention du "bac à sable". On y trouve donc même des fous rires!
Oli. Delloye (jeudi, 19 septembre 2013 12:12)
Que dire si ce n'est que ce que tu as vécu, je l'ai un partagé avec toi, quelques semaines - et ce que tu décris est si vrai qu'on doit le ressentir, même sans avoir vécu tout ça. Bien de la chance d'avoir découvert un peu de cette Afrique en ta compagnie et à travers ton regard.